Photo d'illustration - Source Reuters

Actuellement, l’exemption de visa s’applique déjà aux visiteurs Australiens et Américains notamment, qui peuvent demeurer jusqu‘à six mois sur le sol britannique sans visa. Pour les Européens souhaitant s’installer pour étudier ou travailler, la procédure devrait être un peu plus complexe cependant, puisqu’ils devraient obtenir une autorisation et répondre à certains critères qui seront précisés ultérieurement. L’exemption de visa sera-t-elle réciproque? Il revient à l’Union Européenne d’en décider. Les négociations entre l’UE et Londres, censées permettre la sortie du pays en mars 2019, ont pris du retard, notamment à cause de questions très sensibles, comme la facture de 60 milliards d’euros présentée à Londres.