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Au menu des discussions : les créations d’emplois, les nouvelles perspectives commerciales, la révolution numérique ou encore les chaînes de valeurs mondiales.

Tous les participants se sont évidemment prononcés en faveur d’une généralisation des nouvelles technologies. Chrystia Freeland, ministre canadienne des Affaires étrangères :

« Dans une révolution technologique, les robots remplaceront les hommes dans certains domaines. Mais à mon avis, les technologies intelligentes nous aideront aussi à résoudre des problèmes qui étaient jusque-là insolubles. De nouvelles organisations sociales, de nouveaux milliardaires verront le jour, la révolution technologie leur permettra d’entrer plus facilement en contact avec les gouvernements, et donc de voir leurs problèmes réglés plus rapidement ».  

La directrice générale du groupe vietnamien Vingroup, Duong Thi Mai Hoa, a quant à elle fait part de ses expériences en matière d’application des nouvelles technologies à la gestion.

« Vingroup applique les nouvelles technologies à 7 secteurs. Dans la santé, on utilise le robot chirurgical. Dans l’agriculture, on installe des logiciels pour gérer le fonctionnement des fermes. Dans l’éducation, on a le robot professeur pour l’enseignement des langues étrangères... C’est toujours un peu difficile à mettre en place tout ça, mais il faut faire en sorte que le personnel s’adapte vite. »  

A eu lieu également ce jeudi matin un débat sur « la connexion au service du développement » qui se concentre sur la croissance économique par le biais de la liaison régionale et de la liaison globale.