(VOVworld) - Je suis très heureuse de vous retrouver à ce rendez-vous hebdomadaire. Didier Vasseur, d’Amiens, en France, nous a écoutés en février et en mars à 19h30 sur 7280 kHz avec un SINPO de 5. Un autre ami français, Bernard Watelet, de Clermont-Ferrand, nous a écoutés les 12, 13 et 14 mars dans de bonnes conditions, à 20h30 sur 9730 kHz. Depuis la Belgique, Michel Beine nous a envoyé quelques rapports d’écoute effectués fin février et début mars sur 7280 kHz, avec un bilan mitigé. Le 12 mars, par exemple, il n’a capté aucun signal. Nous sommes passés à l’heure d’été depuis quelques jours, nous espérons donc que notre écoute sera meilleure.

Un ami français, Jean-Michel Aubier, nous demande de parler de la consommation de fromage au Vietnam.

Cher ami, si le fromage figure souvent dans un repas occidental, il est peu présent à la table des Vietnamiens sauf pour agrémenter les pâtes, consommées principalement par les jeunes. Depuis une dizaine d’années, les parents vietnamiens donnent du fromage à leurs enfants, comme un complément alimentaire, tout comme le lait ou le yaourt.

Le fromage le plus connu est «La vache qui rit», un fromage pour enfant. Bel, son fabricant français a inauguré sa première usine au Vietnam à la fin de 2011 et une deuxième cinq ans plus tard.  Bel occupe 70% du marché vietnamien et approvisionne toute l’Asie du Sud-Est.

Inauguration de la deuxième usine de Bel au Vietnam (photo: Internet)

Un autre groupe laitier et fromager français, Lactalis, est aussi présent au Vietnam via son producteur vietnamien, Hoang Lan Group. Quelque 500 tonnes de fromage de la marque Président sont écoulées sur le marché vietnamien, ce qui place le groupe parmi les fournisseurs les plus importants au Vietnam.

Avant l’arrivée de Bel, la société néo-zélandaise Fonterra Co-operative était le plus important fournisseur avec plus de 50% de part de marché.

Photo : Internet

Les entreprises vietnamiennes, Vinamilk et Moc Chau Milk proposent aussi une petite gamme de fromages.

Voilà cher Monsieur Jean-Michel Aubier, j’espère que ma réponse vous satisfera. C’est la fin de ce courrier. Rendez-vous mercredi prochain.