SOS village d’enfants au Vietnam

(VOVworld) - Je suis très heureuse de vous retrouver à ce rendez-vous hebdomadaire.

Hervé Duval, de Wattignies, en France, nous a envoyé quelques rapports d’écoute effectués en novembre dernier sur 7280 kHz de 19h30 à 20h00 TU, avec un SINPO de 2 à 3. Notre ami belge Michel Beine, de Tienen, a fait le même constat dans ses rapports d’écoute effectués en janvier et février. Didier Vasseur, d’Amiens, en France, nous a, en revanche, écoutés sur cette même fréquence et à la même heure, dans de bonnes conditions (SINPO 5). Souhaitons que l’écoute de nos émissions s’améliore sur toutes les fréquences  avec le changement des horaires à la fin de ce mois-ci.

Je voudrais remercier Bernard Richard, de Saint-Gobain, en France, qui nous a envoyé une très belle carte de vœux pour l’Année du Coq et fait savoir qu’il avait bien reçu notre cadeau destiné aux auditeurs fidèles.


SOS village d’enfants au Vietnam - ảnh 1
Photo : sosvietnam.org

Vongkham, un ami laotien, nous a demandé de parler de SOS village d’enfants de Hanoi.

Cher ami, le 22 décembre 1987, le ministère vietnamien du Travail, des Invalides de guerre et des Affaires sociales et SOS villages d’enfants, une ONG internationale, ont signé un accord pour créer des SOS villages d’enfants au Vietnam. L’objectif de l’organisation est de venir en aide aux enfants en difficulté, en leur offrant un toit et une famille. A présent, le Vietnam compte 16 villages qui prennent soin de 4.000 enfants. 1500 d’entre eux sont aujourd’hui des adultes parfaitement intégrés à la société. Les programmes développés par SOS villages d’enfants au Vietnam aident près de 1.300 enfants vivant en dehors de la structure et accueillent chaque année quelque 11.000 élèves en difficulté dans leurs 12 écoles d’enseignement général Hermann Gmeiner et 14 écoles maternelles.

S’étendant sur 19.000 m2, SOS village d’enfants de Hanoi est situé dans le quartier de Mai Dich, dans l’arrondissement de Cau Giay et compte 16 maisons. En septembre 1989, le village, inauguré en janvier de l’année suivante, accueillait 53 enfants. A la fin de 2013, il offrait un toit à 200 jeunes et se séparait d’autant d’entre eux devenus autonomes.

Le village n’est pas seulement soucieux de l’éducation des enfants, il veille aussi à l’épanouissement de leurs talents. Plusieurs d’entre eux ont décroché des prix lors de concours de dessin et de tournois d’échecs. L’équipe de football du village a même été championne d’un tournoi organisé en 2009 au sein des SOS villages d’enfants du pays.

Voilà, cher Vongkham, j’espère que vous serez satisfait de ma réponse. C’est la fin de ce courrier. Rendez-vous mercredi prochain.

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