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Alors que les ex-combattants des Farc s'inquiètent, le président colombien reste optimiste. "Nous avons examiné avec beaucoup de détails les progrès, les défis et les obstacles à l'accord de paix le plus complexe qu'ait connu le monde ces 30 dernières années.", a déclaré Juan Manuel Santos. De son côté, Ivan Marquez, chef du parti des Farc a souligné: "Nous disons franchement que les modifications qui ont été apportées à la juridiction spéciale pour la paix ne sont pas ce que nous avions convenu à La Havane."

L'accord de paix prévoit des réformes rurales et politiques ainsi que l'installation d'un tribunal spécial pour juger les crimes les plus graves commis durant les pires années de la guerre.