Un patient atteint du mpox est soigné dans l'hôpital de la province du Nord-Kivu, au Congo. Photo: THX/TTXVN

Cette décision a été prise en raison du nombre croissant de cas et de leur propagation géographique continue, mais aussi des défis opérationnels sur le terrain et de la nécessité de mettre en place et de maintenir une réponse cohérente entre les pays et les partenaires, souligne le communiqué. Le directeur général de l’OMS, suivant l’avis du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international, a estimé que la recrudescence de la variole du singe constituait une urgence de santé publique à l'échelle internationale.

L’OMS et d'autres organismes de santé ont récemment annoncé l'envoi de 899.000 doses de vaccin à 9 pays africains particulièrement touchés par l'épidémie. Elle a également lancé un programme visant à fournir des vaccins, des outils de dépistage et des traitements aux populations les plus vulnérables dans les pays les plus pauvres.

La variole du singe est causée par un virus qui peut se transmettre à l'homme à partir d'animaux infectés ou par contact physique étroit. La maladie provoque de la fièvre, des douleurs musculaires, des lésions cutanées et peut être mortelle.