L'abri du chef de l’organisation autoproclamée État islamique Abou Ibrahim al-Hachimi al-Qourachi en Syrie. Photo: AP

Cette déclaration est un acte de conciliation rare dans le contexte de tensions accrues entre Washington et Moscou au sujet de l’Ukraine.

La Russie a également appelé à une enquête approfondie au cas où la vie de civils aurait été mise en danger au cours de ce raid, et s’est dite prête à collaborer avec tous les pays pour affronter les menaces terroristes.

Plus tôt dans la journée, le président américain Joe Biden a annoncé que le chef de l’État islamique s’était fait exploser lors d’un raid héliporté mené dans la nuit par des commandos américains visant son lieu de refuge en Syrie.