Le Premier ministre Nguyên Xuân Phuc

Les pays riverains du Mékong ont créé plusieurs mécanismes de coopération qui ont eu des impacts considérables sur le développement régional, et qui se traduisent par une accélération du processus de connexion économique, une réduction des écarts de développement et une amélioration du niveau de vie de la population, peut-on lire dans l’article. Selon Nguyên Xuân Phuc, ces mécanismes auront surtout permis aux pays membres de consolider la confiance par le biais de dialogues intenses.

Pour le Vietnam, poursuit le chef du gouvernement, la sous-région du Grand Mékong est un « espace de sécurité et de développement », et la coopération sous-régionale lui a permis de drainer des investissements destinés à accélérer sa croissance économique et à réduire la pauvreté. Les échanges économiques entre les pays de la région s’intensifient, mais ceux-ci bénéficient également d’un soutien considérable de partenaires de développement, qui leur apportent des assistances financières et techniques pour gérer et utiliser efficacement et durablement les eaux du Mékong.

Le Vietnam a participé activement et continuera de le faire à tous les cadres de coopération de la sous-région du Grand Mékong, affirme Nguyên Xuân Phuc selon lequel avec les autres membres, notre pays essayera de définir des méthodes de travail commun permettant à tout un chacun de valoriser ses points forts. Que ce soit dans le commerce, l’investissement, la protection de l’environnement ou l’éducation, le Vietnam a eu des contributions considérables, note le Premier ministre qui a également passé en revue les actions efficaces du Vietnam dans le cadre du Triangle de développement Cambodge-Laos-Vietnam.