Le ministre des Affaires étrangères philippin, Enrique Manalo (photo: Philstar)

Les revendications contradictoires ne pourront être réglées que par des moyens pacifiques et juridiques, a-t-il déclaré.

Les incidents et les actes de provocation contrevenant à la Déclaration sur la conduite des parties en mer Orientale, conclue en 2022, sont à l’origine des actuelles tensions et compromettent les efforts de promotion de la paix et de stabilité dans la région, a-t-il indiqué.

Le Conseil de sécurité de l’ONU devrait ouvrir un débat sur les règles et les ordres applicables dans le domaine de la navigation en mer Orientale, et ce, afin de mettre en avant le rôle de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de 1982 ainsi que d’inciter les États côtiers à privilégier les outils pacifiques et juridiques pour régler les litiges, a-t-il suggéré.