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À l’issue du Sommet, les banques de développement et plusieurs pays participants se sont engagés à contribuer, à hauteur de 14 milliards de dollars (soit 11,5 milliards d’euros) d’ici à 2025, à la création d’une « Grande Muraille Verte » destinée à prévenir la désertification dans la zone soudano-saheliénne, en Afrique. Ce  projet consiste à planter des arbres sur  8.000 kilomètres pour créer des écosystèmes durables sur une bande allant de l'océan Atlantique à la mer Rouge.

Présents, le président francais Emmanuel Macron, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, le chef du gouvernement britannique, Boris Johnson et la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, entre autres, ont lancé un appel pour protéger la biodiversité sur notre Terre. Antonio Guterres a déclaré qu’il faudrait pourvoir au budget pour la préservation de la biodiversité à concurrence de 711 milliards de dollars par an, jusqu’en 2030. La désertification à la périphérie du Sahara entraînera des millions de personnes dans la pauvreté et accélèrera la migration, a-il-ajouté.