(VOVWORLD) - Chaque sommet du G7 a lieu sous haute surveillance, mais le Japon, hôte à partir de vendredi de cette réunion de chefs d'État et de gouvernement, a davantage à prouver après l'attentat en avril contre le Premier ministre Fumio Kishida et l'assassinat l'an dernier de l'ex-dirigeant Shinzo Abe.
Quelque 24.000 agents de sécurité seront déployés selon les médias locaux à Hiroshima (Ouest), où se tiendra le sommet des dirigeants des principales démocraties industrialisées jusqu'à dimanche.
Des mesures de sécurité étaient également en vigueur jusqu'à Tokyo, où les casiers de consigne automatique dans les grandes gares ont été désactivés. Les distributeurs automatiques situés sur les quais de métro ont également été débranchés et scellés, avec des panneaux indiquant qu'ils ne seraient pas disponibles pendant le sommet pour des raisons de sécurité.
Les dirigeants des pays membres du G7 (Japon, États-Unis, Canada, Grande-Bretagne, France, Allemagne, Italie) et de l'Union européenne seront rejoints cette année par des invités tels que le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva et le Premier ministre indien Narendra Modi.