Figuraient parmi les invités plusieurs Brexiters influents, dont l'ancien ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson, et Jacob Rees-Mogg, président de l'European Research Group, un groupe de députés partisans d'une sortie de l'UE sans concession. Certains Brexiters auraient à cette occasion tenté de négocier leur soutien à l'accord en échange d'une démission prochaine de la Première ministre. Un troisième rejet du texte pourrait être le coup de grâce pour une Theresa May en pleine crise d'autorité.

Le gouvernement devrait dévoiler lundi ses intentions quant à la suite du processus, tandis qu’une série de votes indicatifs pour déterminer les desiderata du Parlement pourrait avoir lieu dans la semaine.