La 10e consultation politique Vietnam - Mongolie

(VOVWORLD) - Le ministre vietnamien des Affaires étrangères, Bui Thanh Son, a reçu le 23 septembre à Hanoï le vice-ministre mongol des Affaires étrangères, Batsumber Munkhjin venu participer à la 10e consultation politique entre les deux ministères des Affaires étrangères.
La 10e consultation politique Vietnam - Mongolie - ảnh 1Le ministre vietnamien des Affaires étrangères, Bui Thanh Son (droite), et le vice-ministre mongol des Affaires étrangères, Batsumber Munkhjin. Photo: Ministère des Affaires étrangères 

Bui Thanh Son a déclaré que le Parti et l'État vietnamiens n’oublieraient jamais le soutien apporté par le gouvernement et le peuple mongols lors de la lutte pour l'indépendance et la réunification du pays. Le Vietnam attache une grande importance et souhaite dynamiser sa coopération avec la Mongolie, en particulier dans les domaines de l'économie, du commerce et de l'investissement, a-t-il souligné, avant de plaider pour une coordination étroite pour organiser les célébrations du 70e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques bilatérales en 2024.

Vendredi toujours, le vice-ministre vietnamien des Affaires étrangères Nguyên Minh Vu et Batsumber Munkhjin ont coprésidé la 10e réunion de consultation politique bilatérale.

Les deux parties ont convenu de renforcer l'amitié et la coopération entre le Vietnam et la Mongolie et d’intensifier des échanges de délégations et des contacts de haut niveau.

Le Vietnam est un partenaire clé de la Mongolie en Asie du Sud-Est, a déclaré le vice-ministre mongol, qui a plaidé en faveur d’une coopération plus efficace en matière de défense et de sécurité.

Concernant la coopération économique, Batsumber Munkhjin a accepté d'accélérer les négociations pour signer un protocole d'accord entre le ministère de l'Industrie et du Commerce du Vietnam et le ministère de l'Alimentation, de l'Agriculture et de l'Industrie légère de Mongolie sur le commerce du riz dès que possible.

Les deux vice-ministres ont également convenu qu'il était nécessaire de résoudre les désaccords en mer Orientale par des moyens pacifiques, sur la base du droit international, notamment la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de 1982, sans recourir à la force ou menacer d'y recourir, et d'éviter les actions qui compliquent la situation.

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