Il doit s’entretenir avec le président américain Donald Trump à la Maison Blanche, dans un geste symbolisant un rapprochement entre Damas et Washington.

À la veille de cette visite, le département d’État américain a retiré le nom d’Ahmed al-Sharaa de sa liste de personnes désignées comme terroristes et assoupli plusieurs sanctions visant des responsables syriens. Ces mesures marquent une nouvelle phase dans les relations entre les deux pays, après la chute du régime de Bachar al-Assad fin 2024.

Washington envisage désormais de rétablir une présence diplomatique et militaire à Damas, un objectif qui pourrait se concrétiser d’ici fin 2025.