Photo d'illustration (source: Minh Hien/dangcongsan.vn)

Vendredi, l’Union des femmes vietnamiennes et le ministère de la Sécurité publique ont lancé un programme en réponse à cette journée, qui est au Vietnam «la journée de la participation populaire à la lutte contre la traite humaine».

Au Vietnam, non seulement des enfants, mais des adultes sont aussi devenus victimes de ce fléau. À cause de leurs relations sur les réseaux sociaux, certains ont fait l’objet de traite, d’exploitation sexuelle, de travail ou de mariage forcé, a déclaré Hà Thi Nga, présidente de l’Union des femmes vietnamiennes.

“L’Union des femmes vietnamiennes s’est fixé pour objectif de venir en aide à 80% des femmes victimes de violence et de traite. Celles-ci recevront au moins un service d’assistance sociale. Nous renforcerons la communication auprès des femmes et des habitants en général pour les sensibiliser à une utilisation plus sure des réseaux sociaux. Cela permettra de réduire les risques de traite humaine en particulier et de criminalité en général dans le cyberespace», a-t-elle indiqué.