L’Opinion chinoise et la question de la mer Orientale

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L'ancienne carte de la Chine, parue en 1904

(VOVworld) - Ces jours-ci, l’opinion chinoise s’intéresse énormément à la publication par le Vietnam d’une ancienne carte de la Chine, parue en 1904, qui révèle la souveraineté du Vietnam sur les archipels de Hoang Sa (Paracel) et de Truong Sa (Spratleys). Les mass-média chinois comme Sina, Ifeng, Stockstar... ont couvert cet événement, qui a été relaté par de nombreux journaux chinois. Cette carte vient d’être offerte au musée d’histoire nationale du Vietnam par le docteur Mai Ngọc Hồng, directeur du Centre de recherche et d’application généalogique du Vietnam. La cérémonie pour sa réception a été mise en ligne sur le site de l’Ifeng www.ifeng.com de Hongkong-Chine. Le journal Stockstar, à travers les recherches et les analyses sérieuses du docteur Mai Ngọc Hồng et de l’historien Dương Trung Quốc, a présenté minutieusement la superficie et l’origine de cette carte qui mentionne l’île de Hainan à l’extrême sud de la Chine mais qui ne comprend pas les archipels de Hoang Sa et de Truong Sa. Cette carte de la Chine fût réalisée par les méthodes contemporaines des pays occidentaux avec des coordonnées précises, concordées avec le langage de cartographie actuelle. De plus, le journal Stockstar a utilisé les noms vietnamiens Hoang Sa et Truong Sa au lieu des noms chinois. A noter que les vidéos de l’Ifeng et du Stockstar ont été vus par près d’un demi-million d’entrée, pendant les 48 heures de publication de cette carte. Ce nombre est encore plus élevé pour les bulletins d’information diffusés à la télévision et sur d’autres sites web. Cet événement a lieu alors que les litiges sont de plus en plus tendus entre la Chine et plusieurs pays côtiers de la mer Orientale, dont le Vietnam, les Philippines, la Malaisie, le Brunei, ainsi que le Japon.

Selon les analystes, les informations des agences de presse chinoises sur les nouvelles preuves comme la carte de la Chine et l’irrationalité de la ligne des neuf tronçons pourront mieux faire comprendre à la plupart des Chinois la souveraineté entre ces pays d’Asie.

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