(VOVWORLD) - L’envoyé spécial des Nations unies pour la Syrie, Staffan De Mistura, a rappelé samedi 24 novembre à Rome l’urgence de lancer le changement politique en Syrie avant la fin de l’année, comme convenu fin octobre à Istanbul.
Selon ce dernier qui doit quitter ses fonctions fin novembre, le prix à payer à ne pas essayer vite de démarrer un processus politique pourrait bien être une longue période de malheurs.
Il a appelé les pays engagés à une solution en Syrie à faire pression sur le «gouvernement» syrien, et non régime pour qu’il comprenne que le statu quo n’est pas dans son intérêt.
Le gouvernement syrien a annoncé fin octobre son rejet d’un Comité constitutionnel, considéré comme la première pierre à un règlement politique du conflit.