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Rédigé par l’Indonésie, membre non permanent du Conseil de sécurité, le texte avait recueilli 14 voix en sa faveur.

Censée renforcer l’action internationale contre le terrorisme, la résolution indonésienne « était pire que pas de résolution du tout », a expliqué l’ambassadrice des États-Unis à l’ONU, Kelly Craft. Sans référence au « premier pas crucial » qui est le « rapatriement dans leur pays d’origine ou de nationalité » des combattants étrangers, cette résolution « échoue » à renforcer la lutte contre le terrorisme, a-t-elle insisté, soulignant que les États-Unis se refusent par conséquent à participer « à une farce aussi cynique et volontairement inconsciente ».