Des familles accueillent des prisonniers palestiniens libérés à Ramallah, en Cisjordanie, le 1er février. Photo: THX/TTXVN

Cette escalade militaire "va à l'encontre des appels répétés du Secrétaire général Antonio Guterres en faveur d'un cessez-le-feu immédiat", a-t-il déclaré. Selon le responsable onusien, les opérations d'aide humanitaire dans l'enclave palestinienne sont désormais "pratiquement à l'arrêt".

Dans le même temps, le Hamas a démenti avoir suspendu les pourparlers concernant un échange de prisonniers avec Israël. Dans un communiqué, le mouvement palestinien précise que cet accord "demeure au cœur des négociations" et qu'il "est en cours de finalisation par les médiateurs de façon responsable et sérieuse".

L'Égypte, de son côté, a formellement démenti tout projet visant à installer 500.000 Gazaouis dans le nord du Sinaï. Le Caire a réaffirmé son opposition catégorique "à tout déplacement forcé ou volontaire de Palestiniens hors de la bande de Gaza".