L’inclusion de Cuba sur la liste établie unilatéralement par le Département d’État américain est injuste et sans fondement, a déclaré cet organisme interparlementaire dans son communiqué. Il s’agit d’une mesure unilatérale de la part des États-Unis pour justifier l’embargo économique, commercial et financier contre La Havane, qui dure depuis plus de six décennies, a martelé le Parlatino, qui s’oppose depuis de nombreuses années au recours à de telles mesures coercitives unilatérales en considérant ces actes comme contraires au droit international.

Quelques jours avant de quitter ses fonctions, Joe Biden avait retiré le 14 janvier Cuba de la liste des États soutenant le terrorisme mais son successeur Donald Trump a annulé cette décision quelques heures seulement après son investiture, le 20 janvier.