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Le pays doit préparer des scénarios pour y faire face. C’est ce qu’a souligné Eric Dziuban, directeur du Bureau de représentation au Vietnam du Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des États-Unis, lors d’une rencontre avec la presse, tenue en ligne ce vendredi.

À la date du 29 juillet, on compte déjà un total de plus de 21.000 cas confirmés dans 78 pays à travers le monde. Les États-Unis sont actuellement le pays le plus touché, suivis par certains pays en Europe et en Afrique. Cette maladie se propage rapidement à l’échelle mondiale. En une semaine, le nombre de cas est passé de 16.000 à plus de 21.000 cas.

Dès juin, le Bureau du CDC américain a collaboré avec le ministère de la Santé du Vietnam pour élaborer des documents guidant la supervision, la prévention, le dépistage et le traitement de la variole du singe. Le CDC américain travaille actuellement en étroite collaboration avec l’OMS pour fournir à de nombreux pays dont le Vietnam des tests de dépistage. Par ailleurs, les États-Unis et plusieurs pays dans le monde s’emploient à promouvoir la recherche et la production de vaccins contre la variole du singe, a annoncé l’officiel américain.