La Russie s'est montrée mardi ouverte à un départ du pouvoir du président Bachar al-Assad, réclamé par l'opposition. Sur le terrain, la Syrie a autorisé mardi l'ONU et des ONG à apporter de l'aide humanitaire dans le pays. Un million de personnes devraient en bénéficier. En vertu de cet accord, le gouvernement syrien va autoriser l’ONU à établir des centres d’aide humanitaire dans 4 villes, y compris à Homs et à Idlib. Par ailleurs, l’opposition syrienne a déclaré qu’elle ne respectait plus le cessez-le-feu arrangé par l’ONU, parce que le président Bachar al-Assad ne l’a pas non plus observé.