(VOVWORLD) - Le patron de Twitter, Jack Dorsey, a admis mercredi 5 septembre que son service n’était pas «préparé» pour faire face aux manipulations qui ont affecté les réseaux sociaux, notamment lors de la campagne présidentielle américaine de 2016.
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Twitter a été créé pour fonctionner comme une «place publique» et n’a pas su lutter contre «les abus, le harcèlement, les armées de trolls et la propagande des bots (comptes automatiques)», a reconnu M. Dorsey.
La numéro deux de Facebook, Sheryl Sandberg, a également reconnu que le premier réseau social au monde avait tardé à lutter contre les campagnes de désinformation. Les deux étaient auditionnés par la commission du Renseignement du Sénat américain sur les opérations d’influence étrangères et leur utilisation des plateformes des médias.