Les personnes qui soutiennent le président Yoon Suk Yeol continuent de manifester à Séoul. Photo: Reuters.

La décision a provoqué une vague de protestations parmi ses partisans, avec environ 44.000 manifestants affrontant près de 600 policiers anti-émeutes. Malgré l’arrestation de près de 100 individus pour actes de vandalisme, la situation est restée tendue, poussant les autorités à organiser une réunion d’urgence pour examiner des mesures de sécurité.

Le président Yoon, désormais détenu dans une cellule de 10 m², a été traité comme tout autre prisonnier: photographié pour son dossier criminel et contraint de dormir sur un matelas au sol. Ces conditions ont alimenté l'indignation parmi ses partisans, nourrissant les craintes de nouveaux affrontements, non seulement à Séoul, mais aussi dans d'autres villes du pays.