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C’est en tout cas ce qu’a déclaré Dang Dinh Quy, chef de la mission vietnamienne auprès de l’ONU, lors d’une visioconférence du Conseil de sécurité de l’ONU, tenue le 16 avril, pour discuter de la situation au Yémen au cours du dernier mois.

Il s’est déclaré préoccupée face aux récentes tensions et à la situation humanitaire au Yémen, et a apporté son soutien à l’appel du Secrétaire général de l’ONU au cessez-le-feu dans les zones de conflit alors que le monde se concentre sur la lutte contre le Covid-19.

Soulignant le devoir de protéger les civils, en particulier les femmes et les enfants, le diplomate vietnamien a aussi demandé aux parties concernées de poursuivre le dialogue et de s’orienter vers une solution politique globale où l’ONU pourrait jouer un rôle d’intermédiaire.