Le 1er octobre 2024, des missiles iraniens ont été interceptés par le système de défense israélien au-dessus de Naplouse, en Cisjordanie. Photo: THX/TTXVN

Cet acte, qui marque une nouvelle escalade dans la région, a immédiatement suscité l'attention de la communauté internationale.

L'Iran a tiré près de 500 missiles balistiques en direction d'Israël, déclenchant une riposte immédiate de Tel-Aviv. Le Hezbollah, allié de l'Iran, est également engagé dans des combats contre Israël, qui a lancé une offensive terrestre au Liban contre le groupe.

La réaction internationale ne s'est pas fait attendre. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a appelé à une désescalade et à un cessez-le-feu immédiat, tandis que la Maison Blanche a réaffirmé son soutien à Israël par la voix du conseiller à la sécurité nationale, Jack Sullivan. 

"L'Iran a lancé près de 200 missiles balistiques contre des cibles en Israël. Les forces de défense israéliennes, en étroite collaboration avec l'armée américaine, ont activé leur défense aérienne pour intercepter les projectiles. Des destroyers de la marine américaine ont rejoint les unités israéliennes pour abattre les missiles entrants. Le président américain Joe Biden et la vice-présidente Kamala Harris suivent de près la situation et travaillent en étroite coopération avec les autorités israéliennes pour évaluer les conséquences de l'attaque. À ce stade, aucun décès n'a été signalé en Israël.", a-t-il dit.

Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, ainsi que plusieurs dirigeants européens, dont son homologue français Michel Barnier, ont exprimé leur préoccupation face à l'escalade du conflit et à ses répercussions potentielles sur la stabilité régionale.

Enfin, le Hamas a revendiqué cette attaque comme une réponse directe aux récentes opérations israéliennes contre ses leaders. Israël a convoqué une réunion de crise pour décider des mesures à adopter face à cette nouvelle menace.