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Dans un communiqué, les représentants d’une trentaine de pays, dont le président américain Donald Trump et son homologue français, Emmanuel Macron, ont affirmé qu’ils n’allaient « pas laisser tomber » le Liban. Mais ils ont exigé que cette aide soit « directement » distribuée à la population et qu’une enquête « transparente » soit menée sur les causes de la catastrophe.

L’Union européenne s’est engagée à hauteur de 60 millions d’euros afin de répondre aux « besoins les plus pressants ». Les pays du Golfe ont également ouvert leur portefeuille, à l’image du Qatar, qui a promis 50 millions de dollars.

L’explosion, mardi dernier, dans un entrepôt du port de la capitale, a fait au moins 158 morts, plus de 6 000 blessés, des dizaines de disparus et des centaines de milliers de sans-abri. L’espoir de retrouver des survivants s’amenuise, a annoncé dimanche l’armée libanaise.