(VOVWORLD) - Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a été arrêté ce mercredi matin pour des accusations de rébellion liées à sa décision d’imposer la loi martiale le 3 décembre dernier.
Cette arrestation, une première dans l’histoire du pays pour un président en exercice, a nécessité le déploiement de plus de 3.000 policiers et enquêteurs anti-corruption au palais présidentiel.
L’équipe juridique du président conteste vigoureusement la légalité de cette arrestation, qualifiant la procédure d’illégale.